Henri Duparc (1848-1933)

Élève de César Franck en piano et en composition, Henri Duparc vouera tout au long de sa vie une profonde admiration à son professeur.

En 1871, il fonde avec d’autres compositeurs (Fauré, Chausson, Castillon, Saint-Saëns, Chabrier…) la Société nationale de musique dont il est longtemps le secrétaire.

Tourmenté par une quête de perfection obsessionnelle et ayant détruit la plupart de ses œuvres, dont un opéra sur Roussalka qu’il brûle deux fois, Henri Duparc reste célèbre pour ses mélodies, genre dont il est l’un des plus éminents représentants.

Progressivement atteint de cécité et de paralysie, il s’arrête de composer dès 1885. Après deux voyages à Lourdes, il s’oriente vers un profond mysticisme religieux et termine sa vie à Mont-de-Marsan dans une quasi réclusion.

Publications

(couverture de Lettres à Jean Cras, « le fils de mon âme »)

Lettres à Jean Cras, « le fils de mon âme »


(édition scientifique)

auteur de

  1. article « Voyage aux Pyrénées (1866). Journal d’Henri Duparc », p. 127-128.
(couverture de André Marchal (1894-1980) – Sa carrière)

« André Marchal (1894-1980) – Sa carrière »

    Format bibliographique à copier

    Duparc, Henri, Topakian, Stéphane (édition scientifique). Lettres à Jean Cras, « le fils de mon âme », préface de Guy Sacre, Symétrie, 2010, 192 p.
    Duparc, Henri. « Voyage aux Pyrénées (1866). Journal d’Henri Duparc », L’Orgue, Cahiers et mémoires, n° 38 (1987/II) : « André Marchal (1894-1980) – Sa carrière (L’Orgue, Cahiers et mémoires n° 38 (1987/II)) », Association des Amis de l’orgue, p. 127-128.